le temps désoeuvre
les blessures de mon coeur
me murmurent au fil des heures
de profiter du bonheur
le temps passe à vive allure
bousculant les déchirures
infligées à notre armure
la dure réalité
nous confronte sans pitié
aux murs de la vérité
on s'abime en conjoncture
dans de sombres déchirures
qui sont comme des morsures
on ne retient des erreurs
que les plaies et la douleur
jamais le rire d'un coeur !
aout 2010, Fabienne
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