L'hombre
l'hombre
T'es venu me chercher
Toute nue m'a trouvée
Dans mon bain alanguie
Toi l'hombre, tu m'as pris
J'ai aimé tes caresses
Tes baisers, ta tendresse
Cette voix qui susurre
Juste pour moi un murmure
Un bonheur de plaisir
Comme une fleur qui respire
Sans nuage, sans regret
Ni orage qui défait
Un besoin d'exister
L'odeur du foin en été
Sensation incroyable
Évasion impensable
Tout en moi, j'ai senti
Un émoi interdit
Une bouffée de chaleur
Un été dans le cœur
Tu as su m'allumer
J'ai reçu tes baisers
Délivrée des convenances
J'ai aimé l'insolence
De tes mots un peu crus
Que du beau décousu !
Tu délies dans mon corps
Des envies sans remord
Transportée de plaisir
Déroutée puis jouir
Là dans l'eau parfumée
Juste l'écho éloigné
D'un murmure là au loin
Une brûlure, un besoin
T'es là bas, moi ici
Et tes bras dans la nuit
Que je cherche sans raison
Comme une perche, un bâton
Pour garder ta douceur
Oublier la douleur
D'un demain gris sans toi
D'un chagrin que je noie
Et l'ennui qui s'avance
Comme un cri, une tance
Et l'amer, le constat
Cet enfer sans tes draps
La porte défendue
De cet or corrompu
Qu'est l'amour interdit
Un seul jour dans une vie
FAbienne,
Toute nue m'a trouvée
Dans mon bain alanguie
Toi l'hombre, tu m'as pris
J'ai aimé tes caresses
Tes baisers, ta tendresse
Cette voix qui susurre
Juste pour moi un murmure
Un bonheur de plaisir
Comme une fleur qui respire
Sans nuage, sans regret
Ni orage qui défait
Un besoin d'exister
L'odeur du foin en été
Sensation incroyable
Évasion impensable
Tout en moi, j'ai senti
Un émoi interdit
Une bouffée de chaleur
Un été dans le cœur
Tu as su m'allumer
J'ai reçu tes baisers
Délivrée des convenances
J'ai aimé l'insolence
De tes mots un peu crus
Que du beau décousu !
Tu délies dans mon corps
Des envies sans remord
Transportée de plaisir
Déroutée puis jouir
Là dans l'eau parfumée
Juste l'écho éloigné
D'un murmure là au loin
Une brûlure, un besoin
T'es là bas, moi ici
Et tes bras dans la nuit
Que je cherche sans raison
Comme une perche, un bâton
Pour garder ta douceur
Oublier la douleur
D'un demain gris sans toi
D'un chagrin que je noie
Et l'ennui qui s'avance
Comme un cri, une tance
Et l'amer, le constat
Cet enfer sans tes draps
La porte défendue
De cet or corrompu
Qu'est l'amour interdit
Un seul jour dans une vie
FAbienne,
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