faux semblants
Faux-semblant
Pleurer sur les blessures du passé
Ce n'est pas les soigner
A quoi ça sert de ressasser
Puisqu'on ne peut rien y changer
Regretter quand nos routes ont déviées
C'est juste s'apitoyer
Sur son être désespéré
Alors qu'il vaudrait mieux assumer
Nous sommes faillibles, perturbés
Influençables, cachottiers
On n'ose pas se regarder
De peur d'avoir à s'affronter
Pardonner d'avoir été blessé
C'est trop dur à surmonter
C'est tendre la joue, accepter
Qu'on puisse à nouveau être giflé
Quant notre univers est ébranlé
Nos désirs s'en trouvent frustrés
On voudrait pouvoir décoller
Prendre le large et s'envoler
Le présent nous fait prisonnier
Sans chaînes ni barreaux rouillés
Juste nos êtres dévastés
Qui cherchent un semblant de liberté
FAbienne,
Juillet 2006
Ce n'est pas les soigner
A quoi ça sert de ressasser
Puisqu'on ne peut rien y changer
Regretter quand nos routes ont déviées
C'est juste s'apitoyer
Sur son être désespéré
Alors qu'il vaudrait mieux assumer
Nous sommes faillibles, perturbés
Influençables, cachottiers
On n'ose pas se regarder
De peur d'avoir à s'affronter
Pardonner d'avoir été blessé
C'est trop dur à surmonter
C'est tendre la joue, accepter
Qu'on puisse à nouveau être giflé
Quant notre univers est ébranlé
Nos désirs s'en trouvent frustrés
On voudrait pouvoir décoller
Prendre le large et s'envoler
Le présent nous fait prisonnier
Sans chaînes ni barreaux rouillés
Juste nos êtres dévastés
Qui cherchent un semblant de liberté
FAbienne,
Juillet 2006
Retour aux articles de la catégorie poésie et mots en vers : du noir, du gris, des ombres -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres