Jadis
c'était jadis un jardin
je le croyais du moins
et puis un matin
j'ai vu la fin
des jours et des mois durant
j'ai largué sentiments
pensées et tourments
sur cet écran
enfin je l'avais trouvé
celui à qui parler
l'être d'amitié
pour partager
mais le temps a eu raison
des feux de la passion
chacun sa maison
pour horizon...
dans mes rêves les plus fous
tu navigues partout
m'offres des remous
et des bisous
j'ai des tas de souvenirs
des mots et des soupirs
qui me font frémir
comme sourire
nostalgie du passé
des instants passagers
le coeur libéré
qui s'est lâché
Fabienne, mars08
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